Bien que le niveau du prix pétrolier soit faible, certains des pays africains se focalisent dans cette ressource naturelle et poussent vers l’avant pour devenir un producteur potentiel. L’Ouganda en fait partie et il doit devenir le prochain pays africain producteur de pétrole. Il y a déjà eu un dépôt de candidatures pour avoir des licences d’exploitation pétrolière dans le pays. Cette exploitation est prévue commencée en 2018. Dès 2020, une manne de 2,4 milliards de dollars par an sortira des champs pétroliers de l’Ouganda.
Les autres activités économiques progressent
En attendant que cet or noir soit lancé, les activités économiques du pays, à proximité des puits, notamment en Hoima se développent quand même à bien. On estime la possession d’environ 6,5 milliards de barils de pétrole ainsi que de 500 milliards de pieds cubes de gaz pur du pays. Grâce à cette richesse du pays, les investisseurs et les communautés se sont préparés pour l’arrivée de nouvelles activités qui implique une arrivée de nouveaux travailleurs. Le pays est alors sur le point accroître sa recette et ainsi augmenter son PIB.
Grande réserve de l’Afrique subsaharienne
Après le Nigéria, l’Angola et le Soudan du Sud, selon le FMI, l’Ouganda est aussi le pays ayant le plus de réserves de l’Afrique subsaharienne. Le gouvernent du pays souhaite gérer cette ressource pétrolière brute de trois façons suivantes : le brut pour l’énergie dans le court terme, celui pour le raffinage et enfin celui pour le marché du monde grâce à un pipe-line d’exportation dont le tracé est déjà en cours de débat avec le Kenya. Entre autres, l’Ouganda est sur le point de faire une négociation d’un accord pour la construction de sa propre raffinerie avec consortium dirigé par la société RT Global Resources. En 2020, cette raffinerie sera en marche et sera en mesure de raffiner près de 60 000 barils.