Au cours du mois sacré du Ramadan, les confiseries du monde entier constatent une hausse de l’appétit pour les friandises sucrées. Dattes, baklavas, loukoums et autres pâtisseries sucrées sont particulièrement recherchées pour rompre le jeûne quotidien. Pour les propriétaires de magasins, cette période de l’année est synonyme d’activité intense, les fidèles recherchant, après une journée de jeûne, à se faire plaisir avec des douceurs.
Le Ramadan et la recrudescence de la demande en confiseries
Au fil des années, le Ramadan est devenu une période de grande affluence pour les confiseries, particulièrement pour celles proposant des desserts traditionnels. Les consommateurs profitent du moment de l’Iftar, la rupture du jeûne, pour succomber à des friandises riches en saveurs et en énergie. Notons que cette pratique n’est pas uniquement liée à cet instant de plaisir, elle s’ancre également dans une tradition culinaire forte, où les friandises ont leur place à la table du repas du soir qui rompt le jeûne.
Profiter des douceurs après le jeûne
L’attente qui précède la rupture du jeûne donne de la valeur aux délices sucrés. Les préférences varient certes d’une région à une autre, mais certaines friandises restent des incontournables. Ainsi, les dattes, tout particulièrement, sont très prisées, aussi bien pour leur valeur symbolique que pour leur teneur en sucre naturel. Les loukoums, les baklavas et autres pâtisseries traditionnelles ne sont pas en reste, transformant chaque Iftar en festin sucré.
Les retombées positives pour les commerces de confiseries
Pour les commerçants dans l’industrie de la confiserie, le Ramadan est une période prospère. En effet, la demande élevée de friandises durant le mois sacré entraîne une augmentation signifiante du chiffre d’affaires. Pendant ce temps, les affaires prospèrent et les commerçants peuvent espérer faire de leurs meilleures ventes de l’année. Cette réalité économique bénéficie également à l’emploi dans ce secteur avec une hausse du recrutement pour faire face à cette affluence.
Repenser notre approche du jeûne pourrait-il permettre de redéfinir ces traditionnelles habitudes culinaires ? En mettant l’accent sur le partage, la générosité et la fraternité, le Ramadan a vu naître des coutumes culinaires intemporelles. Ces dernières nous rappellent que chaque moment peut être associé à une saveur, une émotion. Toutefois, ces tendances de consommation suscitent une question de taille : comment associer gourmandise et équilibre au cours de ce mois sacré ?
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