La date de 21 Novembre a été choisie par l’organisation internationale Greenpeace comme la journée mondiale de la pêche non-industrielle. Cette année, la célébration de cette journée internationale s’est déroulée à Dakar. Greenpeace a alors publié durant cette journée un rapport qui se focalise sur l’importance de la destruction des océans. Le thème majeur qui compose ce rapport est l’exploitation illicite et la surexploitation en pêche dans les parties de l’Afrique subsaharienne.
Menace pour la sécurité alimentaire
La surexploitation a pour conséquence la diminution de nombre de poissons pouvant se reproduire, de ce fait il y aura une perte de la population des poissons. Cette surexploitation dans l’Afrique Subsaharienne présente alors des dommages dont les effets pour les habitants sont alarmants. Si cette exploitation continue, d’ici très peu de temps, ils n’auront plus de quoi manger. Le rapport de Greenpeace en Dakar a également dévoilé les conséquences de la surexploitation sur les pertes d’emploi et la sécurité en aliment que l’on estime à plusieurs millions, partout en Afrique occidentale. Les conséquences de la surexploitation et l’exploitation illégale menacent les habitants pêcheurs de l’Afrique et tous les groupements locaux qui vivent le large des côtes de l’Afrique de l’Ouest.
Greenpeace et ses parts de contribution
Depuis plusieurs années, Greenpeace est contre la dégradation des océans, qui a des conséquences majeures aussi bien sur l’environnement que les populations littorales. De ce fait, l’organisation supplique les états de l’Afrique occidentale et à tous ceux qui font la pêche au large de ces côtes de procéder avec urgence à chercher des solutions ou d‘arrêter ces actes dans le but de défendre les populations africaines de la famine et surtout afin de protéger l’environnement et la biodiversité marine. L’ONG incite également les pays africains à arrêter les complots avec les autres pays qui ne respectent pas les dispositions indispensables à la survie des communautés côtières.